PARISIEN. 219

verbis denuntiasse : « C'est ce que j ' a i fait, ce que je fais, ce que je ferai, et rien de plus, jusqu'au jour où Dieu nous unira ».

Quinimo cum octo ante matrimonii celebrationem mensi- bus Palmyra nitide professa sit se nec iotam nec apicem iis addituram quae iam expleverat relate ad religionem: « Après ce grand acte la condition de la religion sera com- plie... et rien de plus. Jamais, jamais entendez-vous, je n'abjurerai ma religion », si quid amplius Vedastus deside- rasset, iuxta oratorem, id conceptis verbis exprimere de- buisset, et tamquam conditionem, sine qua non, celebrationi matrimonii apponere.

Ast, concludit sacramenti vindex, neque vola neque ve- stigium est de decantata conditione in celebrati matrimonii instrumento, quod sic iacet : « L'an de Notre Seigneur mil huit cent quatre vingt dix et le vingtsept du mois d'Août... ont été publiés (sponsi) sans qu'il se soit produit aucun empêchement ou opposition, au prône de la messe parois- siale dans l'Eglise Ste. Marguerite du Vésinet le dimanche dix Août avec dispense de deux bans ; et l'Eglise de Bi- zerte, archidiocèse de Carthage les dix et quinze Août ; j ' a i reçu dans cette Eglise leur mutuel consentement pour le mariage avec les cérémonies prescrites par la Sainte Eglise en présence de Mons. Charles Couvreux, Don Juan de Piz- zaro, Etienne Paul Fontaine qui ont signé avec nous ».

Quibus auimadversis, propositum fuit resolvendum

Dubium

An sententia Curiae Parisiensis sit confirmanda vel in- firmanda in casu.

R ESOLUTIO . Sacra Congreg. Concilii, re disceptata sub die 20 Iunii 1901, censuit respondere: sententiam esse con- firmandam.