332 EX S. C. CONCILII

aliquid sciverint antequam causa de dispensatione introdu- cta esset ».

Episcopus Tornacensis, qua par erat sollicitudine , ad normam praefatae instructionis, novos testes percontavit, quorum depositiones hic adnectuntur.

Vicarius parochialis ait : « Je n'oserais pas dire que Gu- stave soit un homme foncièrement religieux ; il conserve tou- tefois des sentiments religieux ; c'est un honnête homme, et je crois que dans sa déposition il a été absolument sincère ».

Tout ce que je sais, de Marie c'est ce que j ' a i entendu dire çà et l à : elle habite à Bruxelles un quartier mal famé où le Doyen et ses vicaires n'osent pas s'aventurer même en plein jour ».

J'ai entendu dire qu'elle se serait refusé à remplir ses devoirs conjugaux.

« Mr. le Doyen, par d'autres que je ne saurais désigner. C'était un bruit comme tant d'autres ; je n'y attachai alors aucune importance ; c'était peu de temps après le mariage et je ne pouvais même pas supposer qu'il se serait agi un jour d'en déposer devant un tribunal ».

A NIMADVERSIONES DEFENSORIS MATRIMONII EX OFFICIO. In

causa matrimonii, quod die 25 Februarii 1895 Gustavus viduus, contraxit cum Maria in aetate annorum 42 iam constitutus, disputata generalibus in comitiis diei 26 Ia- nuarii 1901 ; S. C. C. ad inscriptam rogationis formulam rescribendum censuit: - Dilata et compleantur acta. -

Hunc in finem Tornacen. sacrorum antistes excussit quidem nonnullos testes, at nemo eorum Mariam cognoscit. Refert ille : « At, septimam mulieris manum quod attinet, conatus omnes in irritum cessere : ea enim est huius mu- lieris conditio ut certa careat genealogia et, modo huc mo- do illuc discurrens, nec vicinos habeat. Quisnam sit ortus ipsius, quodnam domicilium, quod matris genus, ignora- tur. Mirandum igitur non est si acta suppletorii processus, quae hodie ad Eminentiam Tuam dirigo, de septima mulie- ris manu sileant ».