First reprinting 1969, Johnson Reprint Corporation Printed in the United States of America
Litterae Apostolicae quibus Hierarchia Episcopalis in Iaponia constituitur.
•268 MCIEN. Huius consilii executionem cuidam P. Vigon ordinis mi-
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E X A C T I S C O N S I S T O R I A L I B U S 325
¡558 DERTUSEN. RESOLUTIO. S. Congregatio Episcoporum et Regularium,
S. G. SUPER STATU REGULARIUM 567
E X ' S . C. INQUISITIONIS 575
EX S. G. DE P R O P A G A N D A F I D E 623
624 EX S. C. DE PROPAGANDA FIDE
GANTONIS TICINI SEU LUGANEN. 671
672 GANTONIS TICINI SEU LÜGANEN.
CÀNTONIS TICINI SEU LUGANEN. 673
EX S. C. DE PROPAGANDA FIDE 68í> Id autem eo alacriori -animo mihi praestandum suscipio,
686 EX S. C. DE PROPAGANDA FIDE
7 1 6 LEOPOLIEN. SEU PRESMILIEN.
L E O P O L I E N . S E U PRESMILIENSI. 717
718 LEOPOLIEN. SEU PREMISLIEN.
LEOPOLIEN. SEU PRESMILIEN. 719
720 LEOPOLIEN. SEU PRESMILIEN.
LEOPOLIEN. SEU PREMISLIEN. 721
722 LEOPOLIEN. SEU PRESMILIEN.
LEOPOLIEN. SEU PRESMILIEN. 723
724 LEOPOLIEN. SEU PRESMILIEN.
LEOPOLIEN. SEU PRESMILIEN. 725
726 LEOPOLIEN. SEU PRESMILIEN.
LEOPOLIEN. SEU PRESMILIEN. 727
728 LEOPOLIEN. SEU PRESMILIEN.
LEOPOLIEN. SEU PRESMILIEN. 729
730 LEOPOLIEN. SEL' PRESMILIEN.
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732 LEOPOLIEN. SEU PRESMILIEN.
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LITTERAE 521
vraie religion. Si : en effet, les croyances religieuses furent, toujours et partout, données comme base à la moralité des actions humaines et à l'exis- tence de toute société bien ordonnée, il est évident que la religion catho- lique, par le fait même qu'elle est la vraie Eglise de Jésus-Christ, possède plus que toute autre l'efficacité voulue pour "bien régler la vie, dans la so- ciété comme dans l'individu. En faut-il un éclatant exemple? La France elle-même le fournit. - A mesure qu'elle progressait dans la foi chré- tienne, on la voyait monter graduellement à cette grandeur morale qu'elle atteignit comme puissance politique et militaire. C'est qu'à la générosité naturelle de son cœur, la charité chrétienne était venue ajouter une abon- dante source de nouvelles énergies ; c'est que son activité merveilleuse avait recontré, tout à la fois comme aiguillon, lumière directive et garantie de constance, cette foi chrétienne qui, par la main de la France, traça dans les annales du genre humain des pages si glorieuses. Et encore aujourd'hui, sa foi ne continue-t-elle pas d'ajouter aux gloires passées de nouvelles gloires? On la voit, inépuisable de génie et de ressources, multiplier sur son propre sol les oeuvres de charité; on l'admire partant pour les pays lointains où, par son or, par les labeurs de ses missionnaires, au prix même de leur sang, elle propage d'un même coup le renom de la France et les bienfaits de la religion catholique. Renoncer à de telles gloires, aucun Français, quelles que soient par ailleurs ses convictions, ne l'oserait : ce serait renier la patrie.
Or l'histoire d'un peuple révèle d'une manière incontestable quel est l'élément générateur et conservateur de sa grandeur morale. Aussi, que cet élément vienne à lui manquer, ni la surabondance de l'or, ni la force des armes ne sauraient le sauver de la décadence morale, peut-être de la mort. Qui ne comprend maintenant que, pour tous les Français qui pro* fessent la religion catholique, la grande sollicitude doit être d'en assurer la conservation ; et cela avec d'autant plus de dévouement, qu'au milieu d'eux le christianisme devient, de la part des sectes, l'objet d'hostilités plus implacables ? Sur ce terrain, ils ne peuvent se permettre ni indolence dans l'action, ni division de partis ; l'une accuserait une lâcheté indigne du chrétien, l'autre serait la cause d'une faiblesse désastreuse.
Et ici, avant de pousser plus loin, il Nous faut signaler une calomnie astucieusement répandue, pour accréditer, contre les catholiques et contre le Saint-Siège lui-même, des imputations odieuses. - On prétend que l'en- tente et la vigueur d'action inculquées aux catholiques pour la défense de leur foi ont, comme secret mobile, bien moins la sauvegarde des intérêts religieux, que l'ambition de ménager à l'Eglise une domination politique sur l'Etat. - Vraiment, c'est vouloir ressusciter une calomnie bien an- cienne, puisque son invention appartient aux premiers ennemis du christia- nisme. Ne fut-elle pas formulée tout d'abord contre la personne adorable du Rédempteur? Oui, on l'accusait d'agir par des visées politiques, alors qu'il illuminait les âmes par sa prédication, et qu'il soulageait les souffran- ces corporelles ou spirituelles des malheureux avec les trésors de sa divine bonté: Nous avons trouvé cet homme travaillant à bouleverser notre