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de la Propagande dans le Reglement de 1742. En

outre, il y en a d'autres qui se sont introduits peu

à peu en vertu d'une coutume tolérée ou approuvée

tacitement par le Saint Siège. On peut dire en général

qu'en Orient, dans les Missions où est en vigueur

le protectorat français, il n'y a point de solennité où

n'intervienne le Représentant de la France, de préfé-

rence à tout autre ; et il y reçoit les honneurs cor-

respondants à son grade. Le Règlement de 1742 n'est

que pour le Levant. Mais en Chine aussi, les Mission-

naires de toute nationalité rendent ordinairement aux

Représentants de la France des honneurs spéciaux,

soit dans les cérémonies religieuses, soit dans les so-

lennités civiles de la Mission ; ils n'y sont pas obligés

par des prescriptions écrites, mais le Saint Siège, loin

de les désapprouver, voit avec plaisir ces manifes-

tations.

Or, toutes ces prérogatives honorifiques n'ont évi-

demment rien à voir ni avec le droit des gens, ni avec

les traités internationaux. Elles dépendent uniquement,

en Orient comme en Extrême Orient, du Saint Siège,

qui a voulu récompenser ainsi la protection exercée par

la France et relever aux yeux des populations orien-

tales le prestige de la Nation protectrice de l'Eglise.

Jusqu'ici les Agents consulaires et diplomatiques fran-

çais, ainsi que les divers Gouvernements qui se sont suc-

cédé en France, ont toujours attribué une grande im-

portance à ces marques spéciales d'honneur, et s'en

sont montrés jaloux ; c'est qu'en réalité elles contri-

buent beaucoup à rehausser aux yeux de ces popula-

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