nata matrimonio cum Iosepho Borzęcki se coniunxit. Uxor fuit perdiligens et
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visibilmente e chiaramente nello stile di vita, nel lavoro e nella preghiera
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plus seul son épreuve, mais il est conformé au Christ qui s'offre au Père, en
tant que membre souffrant du Christ, et il participe, en Lui, à l'enfantement
de la nouvelle création.
Sans l'aide du Seigneur, le joug de la maladie et de la souffrance est
cruellement pesant. En recevant le Sacrement des malades, nous ne désirons
porter d'autre joug que celui du Christ, forts de la promesse qu'il nous a faite
que son joug sera facile à porter et son fardeau léger.13 J'invite les personnes
qui recevront l'onction des malades au cours de cette messe à entrer dans une
telle espérance.
Le Concile Vatican II a présenté Marie comme la figure en laquelle est
résumé tout le mystère de l'Eglise.14 Son histoire personnelle anticipe le che-
min de l'Eglise, qui est invitée à être tout aussi attentive qu'elle aux per-
sonnes qui souffrent. J'adresse un salut affectueux à toutes les personnes,
particulièrement le corps médical et soignant, qui, à divers titres dans les
hôpitaux ou dans d'autres institutions, contribuent aux soins des malades
avec compétence et générosité. Je voudrais également dire à tous les hospi-
taliers, aux brancardiers et aux accompagnateurs qui, provenant de tous les
diocèses de France et de plus loin encore, entourent tout au long de l'année les
malades qui viennent en pèlerinage à Lourdes, combien leur service est pré-
cieux. Ils sont les bras de l'Eglise servante. Je souhaite enfin encourager ceux
qui, au nom de leur foi, accueillent et visitent les malades, en particulier dans
les aumôneries des hôpitaux, dans les paroisses ou, comme ici, dans les sanc-
tuaires. Puissiez-vous, en étant les porteurs de la miséricorde de Dieu,15 tou-
jours ressentir dans cette mission importante et délicate le soutien effectif et
fraternel de vos communautés! Et dans ce sens, je salue et remercie aussi
particulièrement mes frères dans l'épiscopat, les évêques français, les évêques
étrangers et les prêtres qui, tous, sont des accompagnateurs des malades et
des hommes touchés par la souffrances dans le monde. Merci pour votre
service auprès du Seigneur souffrant.
Le service de charité que vous rendez est un service marial. Marie vous
confie son sourire, pour que vous deveniez vous-mêmes, dans la fidélité à son
Fils, source d'eau vive. Ce que vous faites, vous le faites au nom de l'Eglise,
dont Marie est l'image la plus pure. Puissiez-vous porter son sourire à tous!
13 Cfr. Mt 11, 30. 14 Cfr. LG n. 63-65. 15 Cfr. Mt 25, 39-40.