nata matrimonio cum Iosepho Borzęcki se coniunxit. Uxor fuit perdiligens et
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visibilmente e chiaramente nello stile di vita, nel lavoro e nella preghiera
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vité » personnelle où l'individu, prenant comme critère essentiel la représen-
tation de son propre moi, s'érige un monument à lui-même. Il s'agissait
plutôt de reconnaı̂tre attentivement avec les « oreilles du cœur » les lois consti-
tutives de l'harmonie musicale de la création, les formes essentielles de la
musique émise par le Créateur dans le monde et en l'homme, et d'inventer
une musique digne de Dieu qui soit, en même temps, authentiquement digne
de l'homme et qui proclame hautement cette dignité.
Enfin, pour s'efforcer de saisir cette culture monastique occidentale de la
parole, qui s'est développée à partir de la quête intérieure de Dieu, il faut au
moins faire une brève allusion à la particularité du Livre ou des Livres par
lesquels cette Parole est parvenue jusqu'aux moines. Vue sous un aspect
purement historique ou littéraire, la Bible n'est pas simplement un livre, mais
un recueil de textes littéraires dont la rédaction s'étend sur plus d'un millé-
naire et dont les différents livres ne sont pas facilement repérables comme
constituant un corpus unifié. Au contraire, des tensions visibles existent entre
eux. C'est déjà le cas dans la Bible d'Israël, que nous, chrétiens, appelons
l'Ancien Testament. Ça l'est plus encore quand nous, chrétiens, lions le Nou-
veau Testament et ses écrits à la Bible d'Israël en l'interprétant comme
chemin vers le Christ. Avec raison, dans le Nouveau Testament, la Bible n'est
pas de façon habituelle appelée « l'Ecriture » mais « les Ecritures » qui, cepen-
dant, seront ensuite considérées dans leur ensemble comme l'unique Parole de
Dieu qui nous est adressée. Ce pluriel souligne déjà clairement que la Parole
de Dieu nous parvient seulement à travers la parole humaine, à travers des
paroles humaines, c'est-à-dire que Dieu nous parle seulement dans l'humanité
des hommes, à travers leurs paroles et leur histoire. Cela signifie, ensuite, que
l'aspect divin de la Parole et des paroles n'est pas immédiatement percep-
tible. Pour le dire de façon moderne: l'unité des livres bibliques et le caractère
divin de leurs paroles ne sont pas saisissables d'un point de vue purement
historique. L'élément historique se présente dans le multiple et l'humain. Ce
qui explique la formulation d'un distique médiéval qui, à première vue, ap-
paraı̂t déconcertant: Littera gesta docet - quid credas allegoria....8 La lettre
enseigne les faits; l'allégorie ce qu'il faut croire, c'est-à-dire l'interprétation
christologique et pneumatique.
Nous pouvons exprimer tout cela d'une manière plus simple: l'Ecriture a
besoin de l'interprétation, et elle a besoin de la communauté où elle s'est
8 Cfr. Augustin de Dacie, Rotulus pugillaris, I.