First reprinting 1969, Johnson Reprint Corporation Printed in the United States of America
12 LITTERAE 5° La consacrazione delle fa-
LITTERAE 15 et Cancellariae Apostolicae Regulis, ceterisque contrariis quibus- cumque.
MASSILIEN. 213 RESOLUTIO. Sacra C. Concilii re disceptata sub die 23 Iu-
306 CLUSINA ET P I E N T I N A
384 EX S. C. RITUUM Decretum hoc publici iuris fieri et in Acta Sacrae Rituum
A P P E N D I X I I I . 441 S. C. S. Officii 12 Febr. 1851. - Vic. Ap. Coreae.
474 LITTERAE A tale effetto, implorando su di
EX S. CONG. S. R. U. INQUISITIONIS
V A R S A V I E N . SEU LUCEORIEN. 543
544 V A R S A V I E N . SEU LUCEORIEN.
V A R S A V I E N . SEU LUCEORIEN. 545
546 V A R S A V I E N . SEU LUCEORIEN.
V A R S A V I E N . SEU LUGEORIEN. 547'
348 V A R S A V I E N . SEU LUCEORIEN.
V A R S A V I E N . SEU LUCEORIEN. 549
§50 V A R S A V I E N . SEU LUCEORIEN.
V A R S A V I E N . SEU LUCEORIEN. 551
S52 V A R S A V I E N . SEU LUCEORIEN.
V A R S A V I E N . SEU LUGEORIEN. 553
M A N T U A N A ET MEDIOLANEN. 561
BRIOCEN. SEU P A R I S I E N . 598
596 BRIOCEN. SEU P A R I S I E N .
BRIOCEN. SEU P A R I S I E N . 597
598 BRIOCEN. SEU P A R I S I E N .
BRIOCEN. SEU P A R I S I E N . 599
600 BRIOCEN. SEU P A R I S I E N .
624 GANTONIS TICINI SEU LUGANEN.
CANTONIS TICINI SEU LUGANEN. 625
626 GANTONIS TICINI SEU LUGANEN.
686 A P RUT INA IL An Confraternitates, quae Ordinibus Religiosis non
68 LITTERAE
non moins intelligents que dévoués, qui ont pris pour unique mot d'ordre la conservation de la fois chrétienne.
Il fut un temps où l'Orient chrétien demandait à l'Occident le renfort de ses armes pour mettre une digue aux invasions- dévastatrices des infidèles, et personne n'ignore avec quel héroïsme la France prit part à ce mouvement. Autres sont les temps, autres les maux à conjurer. Il n'est plus question pour les catholiques français dé refouler au loin le torrent des infi- dèles. Il s'agit de sauvegarder et de développer la foi dans leur propre patrie, menacée de se voir totalement déchristianisée. Ils ne peuvent lutter avec des armes matérielles semblables à celles des croisés; mais ils ont la liberté, et ils ont le devoir de re- courir aux armes spirituelles. Telles furent les armes maniées avec tant de vigueur dans la vérité, avec tant d'éclat dans l'élo- quence, par les apologistes; contre les erreurs et les calomnies des païens d'abord, contre le rationalisme des sophistes ensuite ; telles furent encore les armes employées par les martyrs, alors que, dans leur courage héroïque, ils alliaient si étroitement l'amour de Dieu avec l'amour véritable de la patrie, où ils se laissaient tuer plutôt que de trahir l'un ou l'autre de ces deux amours; telles furent à tout âge les armes de vrais fidèles, résolus à tirer les conclusions des principes de leur foi par la pratique sincère et complète des devoirs du chrétien.
Évidemment, le génie des apologistes ne peut être la part de tous.
Tous ne sont pas appelés de Dieu à pousser la vertu jusq'à l'héroïsme ; mais il n'est pas un seul chrétien qui puisse mécon- naître que c'est pour lui un devoir proportionné aux forces communes de conformer ses actes à sa foi, et de se rendre par là un digne instrument de la miséricorde divine dans la gué- rison des esprits aveuglés par l'ignorance ou les passions.
Ces dispositions ont été précisément celles du congrès ca- tholique de Grenoble, ainsi que des congrès analogues qui l'ont précédé ou suivi ; aussi se sont-ils trouvés d'accord pour aboutir aux mêmes saintes résolutions.
Puissent ces assemblées se multiplier; puisse la France voir germer partout sur son sol des associations chrétiennes animées de sentiments identiques ! A ce prix, on peut espérer que l'esprit chrétien se maintiendra vivant, laborieux, commu- nicatif ; et il portera la lumière de la foi au fond de toutes