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copulam intercessisse. « D'abord en arrivant, ait Dna Geny de Maria, ma petite fille me dit ; Il m'a maltraitée, je crains que cet homme me tue.. . Puis elle s'enhardit à me faire cette révélation: il n'a jamais fait de moi sa femme ». Idem- que vir matri et sorori fassus est. Ac tempore non suspe- cto, cum Mariae avia metuens ne Amatus ob uxoris fugam vita se privaret, P. Aloysium Cochard e Societate Iesu ad- ierit, eumque vehementer rogaverit, ut Amatum consolari vellet, ac si fieri posset coniuges iterum inter se reconci- liaret ; eidem non modo Dna Greny, sed etiam Amatus con- fessi sunt matrimonium nunquam fuisse consummatum, si- cuti R. P. Cochard refert.

Ad testimonia septimae manus pertranseuntes oratores adducunt R. P. Cochard, qui ait : « Oui je tiens pour cer- tain, que au moment de la séparation des époux le ma- riage n'avait pas été consommé. La raison qui me fait re- garder la chose comme certaine, est non pas tant la véra- cité et l'honorabilité de Mr. Aimée que les circonstances dans lesquelles il me l'a affirmé. Sa femme lui faisait alors un réproche de n'avoir pas consommé le mariage. Si le ma- riage avait été consommé, il lui était facile de se lever de ce reproche; il avait tant d'intérêt à dire que ce reproche de sa femme n'était pas fondé, il n'ignorait pas que Marie faisait de ce fait une arme contre lui auprès de certaine personne qu'elle consultait et qu'elle indisposait contre lui par ce moyen. J'ajoute qu'il ignorait alors absolument, que ce fait de n'avoir pas consommé le mariage pouvait lui fournir un motif suffisant pour solliciter du Souverain Pon- tife la dispense du lien matrimonial, et dès lors on ne voit pas pourquoi il aurait laissé peser sur lui cette accusation si le mariage avait été consommé ».

Neque alio modo, inquiunt, loquuti sunt alii testes, qui unanimiter sponsos peierandi incapaces tradunt, et facta etiam ab ipsis asserta confirmant.

Hucusque dicta a coniugibus eorumque testibus mirifice patroni confirmari sustinent ex medicorum sapienti iudicio.