First reprinting 1969, Johnson Reprint Corporation Printed in the United States of America
EX S. CONG. S. R. U. INQUISITIONIS
66 NULLIUS S. MARTINI IN MONTE PANNONIAE
NULLIUS S. MARTINI IN MONTE PANNONIAE 67
68 NULLIUS S. MARTINI IN MONTE PANNONIAE
NULLIUS S. MARTINI IN MONTE PANNONIAE 69
70 iNULLIUS S. MARTINI IN MONTE PANNONIAE
NULLIUS S. MARTINI IN MONTE PANNONIAE 71
72 NULLIUS S. MARTINI IN MONTE PANNONIAE
NULLIUS S. MARTINI IN MONTE PANNONIAE 73
74 NULLIUS S. MARTINI IN MONTE PANNONIAE
NULLIUS S. MARTINI IN MONTE PANNONIAE 75
76 NULLIUS S. MARTINI IN MONTE PANNONIAE
NULLIUS S. MARTINI IN MONTE PANNONIAE 77
78 NULLIUS S. MARTINI IN MONTE PANNONIAE
NULLIUS S. MARTINI IN MONTE PANNONIAE 79
120 EX S. C. RITUUM Facta pos tmodum de praedictis S S m o Domino Nostro Leo-
E X S . C . I N Q U I S I T I O I N S
258 C O N S T I T U T I O A P O S T O L I C A .
272 EX ACTIS CONSISTORIALIBUS Cathedralem Ecclesiam de Tulancingo in Mexicana ditione Americae Se-
EX S. C. DE PROPAGANDA FIDE 319
320 EX S. G. DE PROPAGANDA FIDE
EX 3. GONGREG. INDULGENTIARUM -»**-
417 ANDEGAVEN. Beatificationis et canonizationis Servae Dei Ioannae Delanoue Institu-
ES S. G. SUPER. DISCIPLINA REGULARI 537
538 EX S. C. SUPER DISCIPLINA REGULAR i
632 EX S. G. SUPEil DISCIPLINA REGULARI
INDICTIO universalis iubilaei Anni Sancti 1899.
LUBLINEN. SEU VARSAVIEN. • 665
690 E X S . C . I N Q U I S I T I O N I S
EX S. G. DE PROPAGANDA FIDE 699
DECRETUM DE INDULG. APOCRYPHIS 729
D E C R E T U M D E I N D U l G . A P O C R Y P H I S 731
DECRETUM DE INDULG. APOCRYPHIS 733
DECRETUM DE INDULG. APOCRYPHIS 755
DECRETUM DE INDULG. APOCRYPHIS 737
DECRETUM DE INDULG. APOCRYPHIS 739
DECRETUM DE INDULG. APOCRYPHIS 741
DECRETUM DE INDULG. APOCRYPHIS 743
EX S. G. NEGOTIORUM ECCLESIASTIG, EXTRAORDINARIORUM 757
558 EX S. C. RITUUM
surant que le Seigneur en recevrait mieux le sacrifice ; et en effet, car le Seigneur fit connaître à notre Soeur quelle devait se ser- vir de cet argentei qu'elle n'eût point á se mettre en peine, et qu'il se trouverait de saints prêtres, qui la déchargeraient des messes; dont elle s'était servie de l'argent pour le soulagement de ses chers pauvres. Mais comme notre Soeur avait la conscience si nette et dans une si grande appréhension d'être trompée pai' le mauvais esprit, que cela fit qu'elle consultait tous les prêtres, qu'elle pouvait connaître les plus éclairés, elle ne se contentait pas de ceux qui étaient dans la ville, elle allait partout, où elle pouvait savoir qu'il s'en trouverait qui fussent capables de lui donner de saints avis et conseils. Par le même moyen, elle s'en fut trouver un bon et saint prêtre, qui était curé ; notre soeur lui conta de la manière que le Seigneur inspirait à certaines per- sonnes de lui mettre de l'argent en mains pour faire dire des messes, et que cet argent ne venait que dans le temps qu'elle était dépourvue de tout secours pour tout ce qui regardait les besoins de ses chers pauvres, et c'est ce qui fit que notre Soeur parla avec tant de sincérité de son intérieur à ce bon et savant prêtre ; mais après qu'il eut entendu que le Seigneur lui en donnait de divins, enfin ce bon prêtre lui dit seulement : faites ce que le Seigneur vous inspirera; mais pour vous ôter d'inquiétude des messes, dont vous vous faites une si grande peine de conscience à cause que vous vous servez de l'argent pour les besoins de vos chers pauvres et que cela emphêche que vous vous acquittiez de ce qui parait de raison et de justice; mais que tout cela ne vous empêche point de vous servir de l'argent quand vous en aurez besoin. Il semblait que ce bon prêtre aurait du décharger notre Soeur de quelques unes de ses messes, mais ce fut tout le contraire, car il lui don- na quarante sols pour qu'elle lui fît dire des messes à sa commo- dité. Mais comme notre Soeur revenait de chez ce bon prêtre, elle disait: Quoi! Seigneur, je croyais recevoir quelques conso- lations de ce bon prêtre, et qu'il aurait pu me décharger de quel- ques unes des messes, dont je suis chargée, mais au contrarie, il m'en a encore chargée d'en faire dire, mais comme ceci venait purement de Dieu et non pas des hommes, il permettait que no- tre Soeur allât consulter un autre saint prêtre, qui demeurait à trois lieues de Saumur. C'était un vrai homme de Dieu, un grand solitaire, qui ne sortait que pour dire la messe; il n'était chargé d'aucun bénéfice, c'est pourquoi il déchargea notre Soeur de tou-