PARISIEN. 519

Longjumeau affirmat : « que les adversaires politique des Mr. R ^supplantés par lui à la mairie, se sont fait une arme contre lui de l'indélicatesse avec laquelle il avait osé épouser cette honnête fille, sachant qu'il était impuis- sant ».

Neque ambigendum est, Gabrielam praefatos testes fefel- lisse ; haec enim, respondet patronus, toto isto tempore, vel penitus ignoravit, coniugii se vinculo laxari posse. « Je l'adressai (après la séparation) à un vénérable religieux, qui, le premier, lui indiqua qu'elle était dans le cas d'une dispense religieuse » (Monialis Magdalena de Jésus) : vel si scivit, parentibus obsistentibus, de coniugio dissolvendo non cogitavit. Nil erat igitur, ait, cur fraudem molita de con- iugii inconsummatione fabularetur.

Imo non solum Gabrielam, sed ipsum Leonern de con- iugii inconsummatione, tempore non suspecto, confitentem audierunt, Hoc testantur, qui aderant, dum Leoni aut quis prolem ominabatur ; aut mirari se quodammodo ostendebat illum prole carere : « On pourrait voir, affirmat actricis mater, un aveu indirect dans une petite scène que nous nous donnâmes plusieurs fois le malin plaisir de recommen- cer. On parlait d'enfants, de petits bébés. Alors il chan- geait de couleur, devenait pourpre ou blême, paraissait nerveux et ennuyé et avec un empressement, qui nous amusait beaucoup, il détournait la conversation. J'ai été témoin de cela environ une dizaine de fois ». Et Sac. Bour- geat : « Un jour leur (coniugibus) ayant dit : - il ne man- que plus à votre bonheur, qu'une douzaine d'enfants, je vous les souhaite de tout mon cœur, Mr. Roger Falconnet me di t : - Avez vous remarqué la figure de Mr. R. quand vous lui avez souhaité des enfants ? et il partit de là pour me dire. . . . . . ne souhaitez pas des enfants aux époux R. Il ne peuvent pas en avoir » - qui vero astabant, dum Ga- briela suam sortem lugebat, virum, ut medicos consuleret, vehementer hortabantur: - « Je ne sais, ait praefata F. Le- moux, s'il a consulté des médecins : mais ma fille le lui