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Sed in casu, urget advocatus, etsi vir sit contumax, non solum, sua contumacia, implicite impotentiam confirmavit, quia puduit, infirmitatem suam apud Tribunal manifestare; si enim potens fuisset, cum separationem reformidet, poten- tiam suam totis viribus comprobare conatus esset; sed ex- plicite fassus est per epistolam socero conscriptam.

« Vous trouverez, ait vir, sous pli la consultation de M. le docteur de Sentex, que j 'a i vu hier soir. Vous y ver- rez, que sans être aussi affirmatif que M. le Docteur Pe- tres, il est possible, très probable même, que par un trai- tement determiné, on peut avoir raison de ma maladie ».

Quae verba confirmantur ex ipso modo agendi eiusdem doct. Sentex, qui interrogatus in processu, noluit interro- gationibus respondere dicens : « Le refus de repondre aux questions ci-dessus, découle d'une obligation absolue pour le médecin, de garder le secret professionnel ». Quod certe, observat orator, non renuisset doct. Sentex, si quid favore clientis sui deponere potuisset.

Sed ulterius advocato non deficiunt alia gravissima ar- gumenta ad viri impotentiam probandam. Nam, ait, si ipse ad rem uxoriam exercendam potens fuisset, certe sponsae non proposuisset Niciam petere ut alio concubitu prolis so- latium obtineret.

Insuper, urget defensor, ipse Albertus, tempore non su- specto, suam impotentiam coeundi fassus est. Revera Ioan- nes Millebiau amicus ab infantia ac condiscipulus testatur : « Au mois de Juin 1896, je me suis rendu à S. Séver ap- pelle par M. Albert. Dans notre entretien je lui deman- dai les causes du départ de sa femme. Il me dit que le mariage n'avait pas été consommé et il m'avoua son im- puissance qu'il attribuait à une faiblesse nerveuse qui datait de quelques années avant le mariage ». Oui consonat I. B. Hirigoyen : « M. Albert lui même bien avant la séparation m'a avoué avoir été consulter le Docteur Petre à Bordeaux soi disant pour soigner une maladie nerveuse ».

Haec omnia, prosequitur patronus, confirmantur ex te-