First reprinting 1969, Johnson Reprint Corporation Printed in the United States of America
EPISTOLA ENCYCLICA Sanctissimi Domini Nostri Leonis XIII
32 EX AEDIBUS VICARIATUS URBIS
EX S. C. DE PROPAGANDA FIDE 159 Moneat itaque Amplitudo Tua, quando occurrerit, huiusmodi
250 C O N S T I T U T I O A P O S T O L I C A
250 , E X S . C . I N Q U I S I T I O N I S
EX S. G. INQUISITIONIS 251 4. Interrogatus: Quaenam sit uniuscuiusque eorum vitae
EX S. CONG. DE PROPAGANDA FIDE
288 EX S. C. DE PROPAGANDA FIDE
296 C O R N M M T A IM U M Romanos hinc Pontifices ab antiquis temporibus contra
Nativitate Capit. Fratres, quanto tempore, ut ad Laudes Hymnus, Jesu Redemptor.
quibus continetur textus integer Evangeliorum in lingua gallica sine aliqua nota?
612 NULLIUS S S . TRINIT. CAVEN.
NULLIUS S S . TRINIT. CAVEN. 613
614 NULLIUS S S . TRINIT. CAVEN.
NULLIUS S S . TRINIT. CAVEN. 615
616 NULLIUS S S . TRINIT. CAVEN.
NULLIUS S S . TRINIT. CAVEN. 617
618 NULLIUS S S . TRINIT. CAVEN.
NULLIUS S S . TRINIT. CAVEN. 619
620 NULLIUS SS. TRINIT. CAVEN.
NULLIUS S S . TRINIT. CAVEN. 621
622 NULLIUS S S . TRINIT. CAVEN.
N U L L I U S S S . T R I N I T . C A V E N . 625
EX S. C. DE PROPAGANDA FIDE 635
636 EX S. C. DE PROPAGANDA FIDE
E X S . G . E P . E T R E G U L . 685
EX S. G. NEGOTIORUM EXTRAORDINARIORUM 699
708 EPISTOLA A tale uopo impartiamo con
P a g . 37. » 164. » 167. n o t a 3. » 173. » 215. > 223. » 328. » 342.
ADIAGEN. 263
qui ait pu faire penser que Fun ou l'autre des époux ne donnait pas un libre consentement? » ita dimittit Henricus: « J'assistai au mariage et n'ai point remarqué soit à la mairie, soit à l'église, rien qui ait pu me faire penser que l'un, ou l'autre des époux ne donnait pas un libre consentement. D'ailleurs, je ne m'occupais pas de surveiller, ni même d'e- xaminer les époux, que je croyais tous deux trop heureux de s'appartenir ».
Ipse Aloysii pater plus semel de testimonio rogatus re- spondet: « Je répète donc qu'en 1893, mon intention bien arrêtée était de ne m'occuper de l'établissement de mon fils que, lorsqu'il aurait atteint l'âge de 25 ans , âge qu'il n'a pas encore au moment ou je dépose devant vous. Pour com- pléter ma pensée, je dois dire qu'une jeune personne du con- tinent, dont la famille m'était attachée par les liens de la plus étroite amitié, me semblait devoir convenir, sous tous les rapports à mon enfant ».
Ipsemet sponsus percontatus a iudice, reponit: «Je l'avais vue (Aureliam) au Caire deux ans avant notre mariage dans un voyage que je fis avec mon beau-frère, M. Roccaserra. Je l'avais revue l'année suivant à Marseille, à l'hôtel des Colonies. Ces deux entrevues ont été courtes et de simple politesse. Je la revis à Sartène deux ou trois jours avant de demander sa main, et toujours incidemment. Quand j 'a i obtenu sa main, il s'est écoulé trois semaines avant la cé- lébration du mariage. J'avais de la sympathie pour elle; je la trouvais très-gentille et le bien qu'on m'avait dit d'elle me la rendait plus aimable encore. Mon père ne m'a pas engagé à faire ce mariage, mais en principe il tenait à me voir unir par les liens du mariage pour m'enlever aux oc- casions dangereuses. Je savais faire plaisir à mon père en me mariant, mais ce n'était pas là le but unique. J'ai donné un libre et plein consentement ».
Ex Officio Defensoris rogatus: « Connaissiez-vous la loi du divorce ? » Aloysius respondet : « Je la connaissais, mais je n'y pensais pas du tout , et j 'avais les meilleurs inten-