F i r s t reprinting 1969 , Johnson Reprint Corporation Printed in the United States of Amer ica
44 E X S. G conservino sempre il carattere sa-
EX S. G. RITUUM m DECRETUM quoad festum Sanctissimi Cordis Iesu.
E X S . C . I N Q U I S I T I O N I S 315
386 E P I S T O L A E N C Y C L I C A
442 EX S. C. DE PROPAGANDA FIDE
EX S. C. DE PROPAGANDA FIDE 443
EX S. CONG. S. R. U. INQUISITIONIS
5 1 8 EX ACTIS CONSISTORIALIBUS
APPENDIX V. EXHIBENS A C T A SEDIS APOST. QUAE A U T IAMDIU E X A R A T A SUNT
583 EPISTOLA APOSTOLICA SSmi D. N. Leonis PP. XIII ad Anglos
6 2 8 ORDINIS S. MARIAE DE MERCEDE
ORDINIS S. MARIAE DE MERCEDE 629
630 ORDINIS S. MARIAE DE MERCEDE
ORDINIS S. MARIAE DE MERCEDE 631
deesse Sodalitati non videtur ob factum iam probatum reae- dificationis : Reiff, h. t. n. 15.
576 APPENDIX V.
S. C. S. Officii I Augusti 1855. - Ep. Portus Aloisii.
Quoad eos qui nomen dederunt sectae massonicae dubia varia.
Nous sommes dans ce moment en lutte avec les francs-maçons....
Voici les instructions que j ' a i données à mes ecclésiastiques ; je les
soumets respectueusement a V. E. et je désire qu 'Elle puisse les ap-
prouver. J'ai ordonné ce qui suit :
1. Que toute personne qui aurait été assistée d'un prêtre, ou qui
aurait demandé l'assistance d'un prêtre à l 'heure de la mort, reçoive
la sépulture ecclésiastique. Voilà la première règle , et je crois qu'il
est impossible dans ce pays-ci d'agir autrement- Le fait d'avoir cherché
à se réconcilier à l 'Eglise, même à l 'heure de la mort, doit être re-
gardé comme une réparation suffisant pour autoriser la sépulture ecclé-
siastique, et je n'oserai pas faire autrement. J 'espère donc que V. E.
approuvera cette première règle.
2. Que si le corps d'un maçon défunt était porté à la loge mas-
sonique, on ne le reçoive pas à l 'égl ise , mais au contraire qu'on
doive lui réfuser rigoureusement toute prière et cérémonie ecclésia-
stique.
3. Que pour admettre à la sainte Communion un franc-maçon le
clergé doive exiger rigoureusement qu'il abandonne à jamais la société
maçonique, ce que le maçon peut faire sans bruit en cessant de fré-
quenter leurs loges et de les aider à se maintenir.
4. Que quant au Sacrement du mariage, le clergé doive agir avec
les maçons, qui ne veulent pas abandonner leur fraternité criminelle,
comme il agit avec les protestants dans le cas du mariage mixtes.
Je ne vois pas la possibilité de faire autrement, et j ' e spère que
V. E. approuvera toutes ces instructions que j ' a i données à mon clergé.
V. E. sait qu'il existe dans ce diocèse des lois qui rendent le mariage
valide aux gens de l'état, et , si nous mettons trop d'entraves au ma-
riage ecclésiastique, les époux se contenteront du mariage civil tout
seul, et viveront ainsi dans le concubinage. Mais voici une question
bien sérieuse que je soumets au Saint Siège, le priant humblement
de m'accorder une réponse pour la direction de ma conscience. Il
s'agit toujours de franc-maçons. Les Bulles des S S . PP. qui excommu-
nient les franc-maçons n'on j'amais été promulguées ici d'une manière
solennelle pas plus qu'en Angleterre ; mais comme règle générale, mon
clergé a exigé, quand un maçon se présentait au tribunal de la Péni-
tence (chose excessivement rare), qui il abbandonai la franc-maçonne-
rie. Cependant un de mes prêtres affirme qu'en France les confesseurs